les conseils généraux savent que l'état ne veut plus payer pour financer les vols d'enfants.
Alors, les présidents des conseils généraux, recherchent désespérément de l'argent pour prétendre avoir bien gérés les départements. Il faut les comprendre.
Alors que font ils ?
ils travaillent non. cela demande du courage.
ils cherchent honnêtement. non changer d'habitude même quand elles sont mauvaises, ce n'est pas une chose à eux, ça.
ils cherchent intelligemment. non si tel était le cas, ils libéreraient immédiatement les enfants qu'ils séquestrent criminellement depuis des années, et ainsi faute de pouvoir s'auto-juger (coucou c'est impossible) ils pourraient faire amande honorable mais là, on rêve très fort.
Que font ils ?
ils ordonnent aux trésoreries de chaque département, le comptable qui encaissaient les revenus du génocide, d'obtenir les paiements des taxes foncières et autre, à tout va, même des pauvres, même si ces taxes foncières ainsi payées deviennent le financement du génocide qu'ils continuent à faire puisqu'ils ne rendent pas les enfants qu'ils ont volés, à leurs parents aimants. !!!
donc ils veulent continuer à faire payer aux français, le coût du vol, de la séquestration et de la destruction des enfants français, dans leurs ASE de criminels pour pouvoir aussi continuer à........ mais, ils ne gagnent plus d'argent, alors pourquoi continuent ils ?
hohohohohohoh ,seraient ce des FOUS criminels ?
OUI
MAIS ">même si ces taxes foncières ainsi payées deviennent le financement du génocide" , voila une bonne raison de refuser catégoriquement de la payer, chouette alors.......
je démontre les aberrations juridiques et économiques des traités de l'union européenne écrits pour faire une dictature sans précédant en Europe pour et par les multinationales qui n'ont aucun intérêt à voir subsister les droits en Europe, comme comparaison au reste du monde, alors ils veulent au travers des gouvernements européens détruire NOTRE droit. à la mèmoire de Mr Pierre Christol, homme merveilleux, aveugle de 74 ans, assassiné pour me faire taire.