je suis internée depuis le 21 /02/ 2012, à l'hôpital camille Claudel d'angoulême, sans le moindre motif, sans la moindre raison. à l'appel de Bordeaux, mardi 20 au matin, j'ai essayé de me défendre.
On me reproche sans toute fois me le dire de faire usage des rapports Naves et Cathala, de l'IGAS et du ministére de la justice, mais aussi des rappports de la Cour des Comptes de philippe Seguin, d'octobre 2009, et de l'Insern, tous parlent des transferts forcé d'enfants français de souche, et des interêts financiers des conseils généraux, qui depuis janvier 2011 refusent de rendre les enfants à leurs parents, démontrant leurs folies collectives et individuelles.
Cela fait plus d'un an, que l'Etat français avait la possibilité de corriger, mais rien, il s'agit désormais de crime contre l'humanité car nos enfants sont déportés, et nous parents mis en psychiatrie ou en prison parce qu'on défend le droit de nos enfants,
nous sommes aussi des déportés politique
il s'agit de crime contre l'humanité en temps de paix, car nos enfants nous sont littéralement volés sans option possible et favorable pour eux et nous, parents.
Voilà ce dont nous sommes victimes
